Vol MH 370 disparu : le point sur la découverte du morceau d’aile
Mine de rien, on commence à y voir plus clair dans la disparition du vol Malaysia 370 !
Cette partie d’avion retrouvée sur une plage de la Réunion le 29 juillet 2015 est de façon certaine un morceau de Boeing 777 et le seul qui manque à l’appel sur la planète est celui du vol MH 370.
L’expertise en cours à Toulouse par le BEA (Bureau d’Enquêtes et Analyses) va donner une confirmation irréfutable, mais avec les intervenants techniques et juridiques cela va prendre des semaines. Je vous livre donc quelques données en attendant ces résultats.
La découverte de ce flaperon est très importante, car elle donne des indications précieuses.
Il est fort possible que l’examen de ce morceau de l’avion permette de déterminer la façon dont il a pris contact avec l’eau, soit un amerrissage rude en pilote automatique (les pilotes sont morts) ou bien un impact à grande vitesse et angle de chute.
Quid de la maitrise de l’enquête ?
Il y a nécessairement plusieurs intervenants dans cette affaire : la Malaisie, le constructeur Boeing et les pays qui avaient des ressortissants à bord. Dans de telles affaires, c’est toujours une foire d’empoigne feutrée entre les protagonistes.
On notera que les autorités Malaysiennes ont vigoureusement insisté pour que cette épave leur soit envoyée et il est de bonne politique pour la recherche de la vérité que les autorités françaises aient refusé, arguant qu’il y avait 4 Français à bord de ce vol disparu et que nous étions donc partie prenante dans cette enquête.
C’est une bonne chose, car je n’oublie pas toutes les cachoteries et contradictions que nous ont servies les Malaysiens, notamment qu’ils aient voulu dissimuler que l’avion transportait un chargement de batterie lithium-ion très dangereux.
Je n’oublie pas non plus qu’il leur avait été transmis un morceau d’avion qui avait été retrouvé sur une plage du côté des Maldives. Les photos que j’avais produites montraient qu’il s’agissait d’une bouteille d’extincteur de Boeing 777. Or il n’y avait pas d’autre Boeing 777 disparu. On n’a jamais entendu parler de l’analyse de cette pièce !
La pièce retrouvée est un flaperon du Boeing 777
Quel est le rôle d’un flaperon ?
C’est une surface portante qui est située sur le bord de fuite de l’aile à l’arrière de celle-ci. Elle porte ce nom singulier, car c’est une pièce qui sert à la fois comme une partie de la commande d’aileron, qui permet de contrôler l’inclinaison de l’avion et une deuxième fonction de volets (flap) pour l’atterrissage.
Ce flaperon pourrait-il provenir d’un autre Boeing 777 ?
Il n’y a pas d’autre épave de Boeing 777 dans l’Océan Indien ni sur la planète.
Ce fameux flaperon pourrait-il être un hoax ?
Dans toutes les affaires de crashs aériens, il y a toujours quelques observateurs plus futés que les autres, qui vous affirment qu’il s’agit d’un complot dissimulant une vérité qu’il faut cacher. Après les homologations par le BEA et Boeing de l’authenticité de cette pièce trouvée sur une plage, on verra donc fleurir des affirmations sur le fait qu’il s’agit d’un faux fabriqué.
Outre les certitudes que procurent les numéros authentifiés sur le flaperon, cette thèse butera sur un fait : l’existence de coquillages qui se sont agglomérés sur l’épave et dont la croissance nécessite des mois.
Qu’apporte d’essentiel la découverte de cette pièce
1°) L’avion s’est bien crashé dans l’Océan Indien
N’oublions pas les affirmations ou suppositions de ceux qui pensaient que l’avion s’était posé quelque part en Chine ou en Asie.
La carte ci-dessous montre :
• En rouge, la trajectoire connue du vol
• En jaune le faisceau calculé avec les données du satellite d’Inmarsat
• En noir l’arc de grand cercle sur lequel le satellite situerait l’avion
• En bleu grisé la zone de recherches
2°) La théorie d’un détournement de l’avion vers la base US stratégique de Diego Garcia dans l’Océan Indien …..tombe à l’eau !
Rappelez-vous les certitudes d’observateurs à qui on ne la fait pas, qui affirmaient que l’avion avait été détourné, soit par les pilotes transformés en terroristes, soit parce que des terroristes avaient pris le contrôle de l’appareil, dans le but d’aller s’écraser sue la base US de Diego Garcia, au sud de l’Inde.
Ce flaperon montre que cette hypothèse ne peut correspondre à la réalité.
La carte des courants marins dans l’Océan Indien montre que le cheminement de l’épave pour aller s’échouer à la Réunion a nécessairement pour origine une zone située à l’Ouest de l’Australie. La zone de recherche de l’avion avait été définie à environ 2 300 km à l’Ouest de l’Australie (elle avait été située par les enquêteurs à 2 300 km à l’Ouest de Perth).
La trajectoire de ce courant suit une route de 260°, quasiment Est-Ouest.
L’ile de Diego Garcia, dans l’archipel des Chagos, se trouve à 7° de latitude Sud et celle de la Réunion est à 21° de latitude Sud, soit 14° de différence de latitude et donc la Réunion est 1 550 km plus au Sud de Diego Garcia. On voit que l’épave du flaperon n’avait donc aucune chance d’avoir cheminé de la région de Diego Garcia jusqu’à la Réunion.
On remarquera sur la carte des courants que dans la zone de Diego Garcia, le courant porte de l’Ouest vers l’Est. Il est donc opposé à celui qui a amené le flaperon à la Réunion. Donc une épave partant de cette zone de Diego Garcia aurait donc été s’échouer quelque part vers l’Est et n’avait donc aucune chance de se retrouver à la Réunion !
Cette carte montre aussi qu’il est fort possible que d’autres débris pourraient être retrouvés sur l’ile Maurice distante de 120 km de la Réunion et peut-être sur celles de Madagascar. On voit aussi sur la carte des courants qu’il n’y a aucune chance pour que ces débris aillent s’échouer sur la côte africaine.
3°) Le lieu de découverte de la Réunion conforte les analyses de la société Inmarsat
Les données des satellites qu’active cette entreprise britannique avaient permis de déterminer que l’avion avait suivi une route sensiblement vers le Sud, durant une durée de 6 heures environ après la perte du contact radar en Malaisie.
4°) Mon hypothèse sur un accident dû à l’explosion de batteries au lithium-ion transportées en soute reste cohérente avec ces nouvelles données.
Vous pouvez consulter le détail de ce que j’ai écrit sur ce sujet dans mon information du 9 juillet 2014, que vous pouvez trouver dans les archives de ce blog.
Depuis cette parution, j’ai découvert avec des pilotes de B 777 un élément important : la bouteille d’oxygène des pilotes se trouve dans la soute électronique, au-milieu de celle-ci.
Si comme je le pense, l’explosion de tout ou partie des 220 kg de batteries au lithium a provoqué une dépressurisation immédiate et est venue endommager cette bouteille, les pilotes n’avaient pas d’oxygène dans leurs masques et à 11 000 mètres, la perte de conscience est une affaire de secondes. Outre la perte de l’oxygène, il s’ajoute immédiatement un froid intense, car on passe de + 25° à l’intérieur à -56°à l’extérieur, soit 81° de différence seulement en quelques secondes ! C’est un choc !
Les passagers voient tomber leur masque à oxygène devant eux, mais il ne leur procurera qu’environ 15 minutes de survie, car il n’est prévu que pour donner de l’oxygène durant une descente de secours vers 14 000 pieds où on peut voler sans oxygène.
Les pilotes empoignent leurs masques, mais l’arrivée d’oxygène ne vient pas, du fait de la bouteille endommagée. Ils ont le réflexe naturel de revenir vers Kuala Lumpur d’où ils avaient décollé quelques dizaines de minutes plus tôt. En quelques secondes, l’un d’eux déconnecte le guidage sur la route programmée et tourne la molette de cap du pilote automatique vers un cap de retour, puis sombre dans l’inconscience, probablement juste avant qu’il entreprenne une descente de secours. Je pense qu’ils auraient dû commencer leur réaction par cette descente rapide, mais dans le choc intense subi, il est fort possible que leur jugement ait été altéré.
L’avion est en pilote automatique, en maintien d’altitude et du cap affiché. Le pétrole se transfère normalement dans les réservoirs et l’avion va voler environ 6 heures au cap vers le sud de l’Océan Indien, jusqu’à ce que les moteurs s’arrêtent faute de carburant et qu’il se crashe. À bord, tout le monde était mort depuis des heures.
On notera que mon hypothèse d’une dépressurisation brutale, formulée dès les premières semaines après le crash a été adoptée par les enquêteurs dans leur rapport de 2014, qui pensent que l’avion a été victime d’une perte de pressurisation qui a fait perdre conscience à bord et entrainé une trajectoire en pilote automatique de plusieurs heures vers le sud de l’Océan Indien où le crash est survenu faute de carburant.
Où se trouve le reste de l’épave ?
Dans les jours qui ont suivi la disparition de ce vol, j’ai écrit qu’il existait une chance infime de retrouver l’épave de l’avion.
Cette idée reste toujours d’actualité, car le point de départ exact de la flottaison de ce flaperon restera inconnu, situé dans une zone où comme le disait le Premier Ministre Australien, le problème n’est pas de trouver une aiguille dans une meule de foin, mais de savoir d’abord où se situe la meule !
Mis à part d’autres débris flottants, il n’existe aucune chance raisonnable de retrouver l’épave, quels que soient les moyens utilisés.
4 septembre 2015 at 10 h 02 min -
Bonjour,
Maintenant que l’on sait que le flaperon appartient bien au MH370, il reste deux grandes hypothèses :
– Votre scenario accidentel (lié aux piles lithium ou pas).
– Autre scenario lié à un détournement (attentat?) qui a mal tourné (à définir).
D’après quelques fuites ou rumeurs, pas de trace d’explosif sur la pièce, on se dirige tout doucement et prudemment vers la thèse d’un amerrissage relativement soft, ce qui, mine de rien, permet d’éliminer certaines hypothèses.
De même, l’analyse des coquillages accrochés au flaperon valide la thèse d’une flottaison entre deux eaux sur une année en milieu salin et tempéré.
J’ai été viré d’un site référence français sur les crashs pour avoir mis en doute le manifeste de la cargaison du MH370 pour lequel tout n’a pas été limpide concernant la communication sur les lithiums, c’est un euphémisme, de même et depuis le début, j’avais mis en doute la pertinence de la zone de recherche, car sans rentrer dans des thèses complotistes, les datas Immnarsat ne sont que des interprétations de modèles, perso j’ai toujours soutenu la thèse que l’avion se situait plus au nord de la zone de recherche actuelle, il est anormal qu’un seul débris ait été retrouvé à ce jour, même si c’est une aiguille dans une botte de foin et que l’on ne sait pas vraiment ou est la grange, contrairement à ce que les Malaisiens et les Australiens tentent de nous faire croire avec leurs zones de recherches prétendues prioritaires et visiblement approximatives, sans même évoquer les pings qui n’ont jamais été captés sur les premières semaines de recherches.
Oui je sais, certains modèles démontrent que sous un certain angle, l’avion a pu rester presque intact lors de son immersion, mais c’est le « presque » qui me dérange et le flaperon en est la preuve formelle.
L’idée d’un ingénieur français de poser des balises Argos pour simuler la dérive afin de valider ou pas, en tous les cas avec l’idée d’affiner la zone de recherche prioritaire, me parait être l’unique recourt valable et à ce jour, faute de preuves matérielles supplémentaires.
Ca prendra du temps, certes, probablement encore une année, mais si l’on veut retrouver l’épave principale, je ne vois pas d’autres alternatives à ce jour.
La question est de savoir si en dehors des familles, il existe une réelle volonté des états concernés de connaitre la vérité.
Je pose cette question sans volonté de polémique, bien entendue.
10 septembre 2015 at 16 h 33 min -
Sur la volonté de découvrir la vérité par les s diverses autorités, je n’en sais rien. Contrairement à ce que vous dites, ls pings ont été signalés par Inmarsat de l’ordre de deux semaines après le crash. Je ne sais pas ce qui vous permet de soutenir la certitude que la zone de recherches se situait plus au nord que ce qui a été fait !
Si l’hypothèse d’un amerrissage est la bonne, il est tout à fait normal que seuls quelques éléments arrachés à la structure lors de l’impact se soient arrachés à l’ensemble de l’avion, qui est allé au fond l’eau en un seul morceau et il est NORMAL qu’il n’y ait pas de débris en grand nombre, comme c’est le cas en cas de percussion à grande vitesse et angle de piqué.
La vérité ne pourrait émerger qu’avec la découverte des enregistreurs et il faut avoir beaucoup d’irréalisme pour croire cette trouvaille possible. Je l’ai dit dès les premiers jours.
3 septembre 2015 at 5 h 14 min -
@CHRISTIAN ROGER
L’absence du numéro d’identification sur le fameux flaperon ne vous paraît pas étrange ?
3 septembre 2015 at 10 h 25 min -
Les enquêteurs sont certains que la pièce est bien un morceau de B 777 et des spécialistes de chez Boeing l’ont confirmé le 5 aout dans le labo de Toulouse où la pièce est analysée. Comme il ne manque pas un seul flaperon dans la flotte existante, je vous laisse le soin de conclure
28 août 2015 at 2 h 52 min -
Article du Monde paru hier, 26 août, sur la difficile identification de ce débris d’avion :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/08/26/vol-mh370-la-difficile-identification-du-morceau-d-avion-trouve-a-la-reunion_4737352_3224.html
29 août 2015 at 9 h 16 min -
Merci J’ai vu cet article qui est iteressant
20 août 2015 at 9 h 48 min -
Bonjour,
Question peut-être naïve : pourquoi les enregistreurs de vol, voix et données, sont-ils toujours réalisés dans les fameuses « boîtes noires » qu’on ne retrouve parfois jamais ?
Avec les technologies actuelles, on devrait pouvoir réaliser des enregistrements à distance avec des systèmes impossibles à déconnecter depuis l’avion, non ?
Des études, que cette disparition devrait encourager et accélérer, sont-elles en cours ?
Merci M. Roger pour vos explications accessibles aux « profanes » et merci aux autres contributeurs. On est toujours plus fort lorsqu’on réfléchit à plusieurs.
Cordialement.
Pamina.
29 août 2015 at 9 h 05 min -
Il est certain que les systèmes actuels ne sont pas satisfaisants et que la technologie permettrait de mettre en place des moyens d’analyse qui soient à l’abri des accidents ou des malveillances. Mais le monde industriel aéronautique est une tour de Babel, où les décisions doivent faire l’objet d’un consensus entre des partenaires aux intérêts souvent opposés ( public, compagnies aériennes, constructeurs,administrations et d’autres encore)
Alors c’est long et aléatoire. Dommage !
2 septembre 2015 at 14 h 17 min -
Bonjour,
L’essentiel de la réponse se trouve dans le coût faramineux de la bande passante montante vers les satellites pour couvrir les nombreuses zones où il est hors de question d’installer des antennes radios – océans, déserts, montagnes.
Les quelques constellations de satellites qui permettraient de transmettre de la voix et les paramètres de nombreux vols des avions ne supporte que quelques milliers de connexions simultanées, chiffre sans rapport avec le nombre d’avions pouvant se retrouver dans le ciel simultanément.
Cette voie est inexplorable pour longtemps encore. Tout au mieux pourrait-on envisager l’émission d’un dernier signal de positionnement lors d’un crash éminent, mais la fiabilité laisserait probablement à désirer (connexion radio avec le satellite très difficile pour cause d’orage et de perturbation électromagnétiques lors d’un crash dans l’océan, crash précisément provoqué par cet orage… ).
Une option bien plus sérieuse est l’éjection d’une boîte noire capable de flotter qu’un crash est éminent, puis l’émission d’un signal radio+GPS, comme c’est déjà le cas.
2 septembre 2015 at 14 h 43 min -
Merci de votre info qui m’a l’air d’être celle d’un homme compétent. Il y a 80 000 vols/jour dans le monde et effectivement, il est illusoire de penser à des enregistrements continus, pour les raisons que vous évoquez
20 août 2015 at 0 h 42 min -
Je lis toujours avec autant d’intérêt vos articles et suis l’évolution de tout le travail colossal que ça représente pour la recherche de la vérité ou d’une partie ! Donc un grand merci pour cela. Par contre je suis consternée à la lecture des commentaires irrespectueux certains internautes. C’est consternant ! Mais qu’attendent-ils pour faire un travail aussi pertinent ? De quoi sont-ils capables ? Pas grand chose a mon avis ! Il y a un dicton « les chiens aboient la caravane passe !
Un très grand MERCI pour toutes vos informations de qualité, dans un parfait français, et accessible à tous niveaux intellectuels.
1 septembre 2015 at 9 h 53 min -
Merci amie, votre billet fait chaud au coeur
17 août 2015 at 21 h 54 min -
Plus de nouvelles du flaperon ! Pourtant, il était sensé nous en apprendre plus sur le crash ( explosion ou pas ) … Au fait, comment un morceau de métal qui nécessite 4 hommes pour être transporté peux t-il arrivé jusqu’aux cotes d’une ile si l’avion se trouve a des profondeurs abyssales ?
18 août 2015 at 8 h 53 min -
Stand by et patience. Laissez les experts faire leur boulot. Je ne doute pas que nous ayons confirmation judiciaire d’ici peu qu’il s’agit bien d’un morceau du MH 370, avec toutes les conclusions qu’on peut tirer de ces analyses
15 août 2015 at 17 h 01 min -
Je ne remets pas en doute les informations concernant les courants marins.
moi même j’ai regardé à plusieurs reprises cette carte
Il est à noter que les cyclones se forment pour la plupart près de Saint Brandon.
Je vous invite à regarder le lien suivant concernant la saison cyclonique 2014-2015
http://www.cyclonextreme.com/cyclonereunionsaison14-15.htm.
Les systèmes dépressionnaires et cycloniques ont ils eu une inter action amplifiée sur le déplacement du flaperon vers nos côtes entre novembre 2014 et Mai 2015!!
En tout cas c’est bien enrichissant ces échanges sur ce mystère. merci
15 août 2015 at 11 h 01 min -
mensonge d apres la carte des courants les debris d un avion se crashant aux maldives / diego garcia arrivent a la reunion madagascar
16 août 2015 at 8 h 38 min -
Regardez à nouveau cette carte, et pour ceux qui n’ont pas de préjugé et savent lire une carte, on voit que Diego Garcia est au milieu d’une zone de calme des courants. Au Nord de l’ile, le courant porte vers l’Est et au sud cela part vers les cotes africaines et en aucun cas cela peut conduire vers la Réunion ou Madagascar.
D’autre part, je ne vous permet pas de m’accuser de mensonge
14 août 2015 at 22 h 02 min -
D’après la carte des courants, l’avion devrait se trouver nettement plus au nord de la zone de recherches actuelle non ?
16 août 2015 at 8 h 55 min -
La zone de recherche se situe sur cette carte des courants dans le « West Australia Courant » et le flux mène bien à la Réunion
14 août 2015 at 18 h 06 min -
Bonjour je ne sais pas ce qui s’est passé, mais mes 2 remarques n’ont pas été postées. Peut-être dû à des paramètres de cookie / navigateur ou encore à une erreur de bouton j’espère.
Quoiqu’il en soit je vais reposter mes commentaires ci-dessous pour voir ce qu’il en est vraiment.
Après 1 morceau de flaperon semblant bien appartenir au MH370, il y a d’autres débris découverts à la Réunion ainsi qu’ aux Maldives – et aussi je pense peut-être même et sûrement sur les autres îles voisines – Madagascar, Seychelles, Maurice, Mayotte, l’île Rodrigues + à l’Est. Mais les journaux ont parlé seulement très peu de toutes ces possibilités ou très vaguement. Il peut très bien y avoir d’autres débris échoués sur d’autres lieux, plusieurs îles et terres à l’Ouest de l’Océan Indien, ils peuvent être ensevelis sous le sable, pris sous les galets ou encore dans des mangroves s’il y a, et depuis des semaines et des mois et ce des fois même sans qu’on le voit …
C’était tout à fait possible. Et puis les autorités auraient pu parler largement plus tôt de ces possibilités d’échouages de débris sur plusieurs autres îles, et ce peut-être même dès le début ou du moins après les premiers vrais témoignages.
Ensuite voici un article de journal Outre-mer à la Réunion sur d’autres débris métalliques découverts sur les mêmes pages :
http://reunion.la1ere.fr/2015/08/11/mh370-un-debris-provenant-probablement-d-un-avion-decouvert-sur-le-littoral-de-sainte-suzanne-277857.html
Au moins 1 autre débris d’aile d’avion sur la plage.
Je ne suis pas experte en mécanique – et il pourrait m’arriver de me tromper sur certains points, certains mots, désolée –
Mais ce débris me fait bcp penser à la 1ere partie d’un train d’atterrissage – pivot. La partie où le train d’atterrissage est rentré ou sorti au moment des phases de décollage et d’atterrissage par les commandes. De plus il y a une sorte de levier? + câbles de commande hydraulique qui pendent et je remarque une empreinte circulaire qui pourrait être celle des freins carbone du train. De plus sur la photo on voit nettement de près les fibres en kevlar ou fibre de carbone au bout des articulations et des joints . Le kevlar amortit très bien les chocs et frictions lors des frappes d’atterrissage / de décollage => très très peu d’usure. J’ai appris cela dans un atelier, pour lier plusieurs matériaux composites choisis à la résine Epoxy.
Et quant à l’autre débris retrouvé cette fois aux Maldives, il a une structure de nid d’abeille => alliage kevlar + alu. Ce n’est pas impossible que ce soit une pièce d’avion.
16 août 2015 at 9 h 00 min -
Il est acquis que ce débris n’est pas une pièce de B 777 et qu’il s’agit probablement de la barre d’un voilier
17 août 2015 at 6 h 59 min -
Pour cette barre, je pensais d’abord à un morceau de train d’atterrissage (la partie inférieure ) par rapport à une certaine epaisseur ( env 20-25 cm de large ), aux composants, qui sont très légers et super résistants et utilisés dans plusieurs types transports différents et pièces mécaniques.
http://www.ipreunion.com/debris-d-avion-a-saint-andre/reportage/2015/08/11/enquete-sur-le-vol-mh370-un-imposant-debris-retrouve-a-sainte-suzanne,32126.html
Avant de poster j’avais essayé de bien comparer certains détails.
En même temps, dans n’importe quel océan il s’est passé pas mal de chose en pleine mer, que ça finisse bien ou pas. On peut y trouver des épaves de toute sorte, de toute taille au fond des océans ou dans les récifs. Et aussi toujours ces problèmes de pollutions, de tas de cochonneries rejetées par n’importe qui n’import’où dans le monde( plastiques , ferraille, toutes sortes de machins différents et autres ) qui sont emportées par les courants sur des dizaines de km, des vagues de détritus.
Finalement, à propos de ce débris, je pense peut-être m’être trompée sur ce point-là. Zut . Comme vous le dites, le fait que ça puisse être une barre de voilier – barre de gouvernail peut-être, c’est tout à fait possible aussi. Certaines pièces peuvent tellement se ressembler…Avant de poster j’avais essayé de bien comparer certains détails.
14 août 2015 at 8 h 48 min -
C’est une pièce de bateau, probablement l’axe du gouvernail d’un voilier
13 août 2015 at 20 h 20 min -
concernant l »extincteur il pourrait provenir du crash de l’airbus A310-300 du vol 626 de la Yéménia aux Comores en 2009!!
14 août 2015 at 8 h 01 min -
C’est possible, car il semble avoir séjourné dans l’eau
13 août 2015 at 19 h 12 min -
Bonsoir
Technicien aéronautique qualifié sur Boeing 777 chez Air Austral, donc par la même basé à l’île de La Réunion je suis de près les informations concernant la découverte de ce flaperon, si la dénomination 657BB ramène effectivement à l’aile droite de l’avion (zone 600) d’un boeing 777 (il n’y a donc aucun doute la dessus), chaque pièce comporte un Part Number commun à tous les flaperons mais surtout un Sérial Number propre à chaques pièces montées sur Avion. Je n’ai pas eu l’occasion de voir ce flaperon de près mais suppose fortement que si le BEA a examiné cette pièce et découvert le SN, il peut de suite dire si oui ou non cette pièce provient bien du MH370.
Concernant les courant marins, il y a quelques jours, sur la commune de Sainte Suzanne, limitrophe de Saint André où a été découvert le flaperon, des personnes ont trouvé une pièce en composite assez large qui au début semblait provenir d’un avion s’avère en fait être une pièce du voilier de la team VESTA WIND alors en régate qui s’est échoué en novembre 2014 sur Saint Brandon au Nord Est de La Réunion. En prenant google map et en tirant un trait qui par de La Réunion et qui passe par Saint Brandon, on arrive tout droit vers les Chagos et Diégo Garcia – quand même surprenant tout ça!!
Le System INMART SAT a pu effectivement interroger le SATCOM non connecté (LOG OFF) en l’interrogeant toute les heures pendant 6 heures sur une trajectoire plein sud dans l’océan Indien, la découverte des débris du flaperon et d’un safran du voilier sur les côtes de deux communes limitrophes à l’Est de l’île serait que pure coïncidence, juste assez pour semer le doute quant aux courants marins qui circulent tout proche de nous
14 août 2015 at 10 h 13 min -
Le BEA n’a pas trouvé de N° de spare part sur le flaperon, ce qui explique leur prudence en attendant qu’on analyse d’autres éléments (peinture, coquillages notamment)
Pour les courants, je vous invite à constater que la carte de courants que j’ai publiée montre que le courant qui arrive à la Réunion vient du Nord Est et que ce débris qui viendrait de Saint Brandon correspond exactement à ce courant. Pour la validité de la carte, si vous la remettez en cause, donnez moi celle qui vous semble exacte.
En attendant, cette carte permet d’affirmer si on veut bien la lire que ce flapeon ne peut venir de Diego Garcia
12 août 2015 at 8 h 43 min -
Bouteille d’extincteur, suite ( et fin?). Pas besoin d’une longue analyse qui ne convaincra quand même pas les « complotistes »…
http://okigihan.blogspot.fr/p/boeing-777-aircraft-fire-detection-and.html
BERQUET Colette:
« … Cependant il y a un point que tu pourrais éclaircir STP : avec quel matériau est fabriqué l’aileron ? »
Christian Roger:
» ‘est de l’alu… »
Euh! Toujours selon des gens de la maintenance , le flaperon est en composite pour l’essentiel…
12 août 2015 at 1 h 52 min -
Je ne suis pas d’accord pour enterrer la thèse de Diego Garcia.
Hier ils ont trouvé un débris à la réunion qui a de forte chance d’être un morceau du bateau « Team Vestas Wind » (échoué le 30 novembre 2014 sur barrière de corail de Saint Brandon = 600km au Nord-nord Est de la Réunion).
Prenez google Map et tracez une ligne entre la Réunion et cette barrière de corail et voyez où ça vous mène…. Si vous pensiez invalider l’hypothèse de Diego Garcia compte-tenu des courants, merci m’expliquer en quoi un débris ne peut pas venir du Nord-Nord-Est de la Réunion (sauf à considérer comme preuve une carte de courants marin établie dans les années 60 <= ce qui semble être le cas de votre carte). Il serait même intéressant de fouiller sur les plages de l'Ile Maurice si on n'y trouve pas des débris… Mais souhaitent ils vraiment en trouver ?
On se le demande, quand on voit qu'il faut plus de 15 jours pour certifier qu'une pièce numéroté appartient (ou non) à tel appareil, ou 10 jours pour enfin décider de faire des fouilles minutieuses du littoral, bref ça laisse vraiment perplexe.
14 août 2015 at 8 h 42 min -
Il n’est pas démontré que cette pièce de bateau trouvée à la Réunion appartienne à ce bateau.
Si c’est le cas, si vous regardez la carte des courants, ils portent justement de St Brandon vers la réunion et cela corrobore cette carte. Si vous en avez une plus récente et plus précise, je suis preneur
14 août 2015 at 9 h 56 min -
Je vous invite à constater que la carte de courants que j’ai publiée montre que le courant qui arrive à la Réunion vient du Nord Est et que ce débris qui viendrait de Saint Brandon correspond exactement à ce courant. Pour la validité de la carte, si vous la remettez en cause, donnez moi celle qui vous semble exacte.
En attendant, cette carte permet d’affirmer si on veut bien la lire que ce flapeon ne peut venir de Diego Garcia
18 août 2015 at 9 h 25 min -
Votre carte est-elle une carte de courants de surface ou courant sous marin ?
Car il existe de multiple courants et il est impossible d’affirmer quoi que ce soit en se basant sur cette seule et unique carte. Par exemple un objet flottant peut être soumis à des vents et peut donc potentiellement aller à contre courant…
Quoi qu’il en soit votre carte n’invalide pas pour autant le fait qu’un objet flottant puisse venir du large de Diégo Garcia. Regardez cette proposition de trajectoire (l’objet repart dans un premier temps vers l’Est puis revient vers l’Ouest).
[img]https://c1.staticflickr.com/1/634/20041323514_5f5fb02684_b.jpg[/img]
A noter que sur cette image, le cercle rouge correspond à Saint Brandon (qui est plus au Nord, qu’à l’Est de la Réunion… et pourtant un objet provenant de Saint Brandon est bien arrivé jusqu’à la Réunion… Et comme je l’indiquais tracez une ligne droite entre la réunion et Saint Brandon et voyez où ça vous menne…)
18 août 2015 at 10 h 52 min -
C’est évidemment une carte des courants de surface, c’est à dire une tranche d’eau de quelques mètres ou plus
Sur votre volonté que cela vienne de Diego Garcia, je vous laisse à vos convictions.
19 août 2015 at 10 h 54 min -
Je peux vous rétorquer la même chose sur votre volonté que cela ne vienne pas de là bas. En tout cas ce que vous avancez n’invalide en aucun cas de cette provenance…
(je remets l’image car l’url était incorrecte)
http://c1.staticflickr.com/1/634/20041323514_5f5fb02684_b.jpg
19 août 2015 at 14 h 15 min -
Cela reste votre opinion
11 août 2015 at 7 h 57 min -
« … Les photos que j’avais produites montraient qu’il s’agissait d’une bouteille d’extincteur de Boeing 777. Or il n’y avait pas d’autre Boeing 777 disparu. On n’a jamais entendu parler de l’analyse de cette pièce ! »
Tout le monde n’est pas d’accord pour dire que c’est une bouteille d’extincteur de 777 et des gens bien informés… De plus, et surtout pour moi, les traces de corrosions et les concrétions qu’elle présente, montrent bien qu’elle a séjourné dans l’eau bien plus longtemps que les quelques semaines entre la disparition de l’avion et sa découverte.
Pour le reste, c’est un scénario que je partage, bien que peu le trouve plausible…
11 août 2015 at 21 h 21 min -
Salut,
Des gens encore mieux informés ???
http://okigihan.blogspot.fr/p/boeing-777-aircraft-fire-detection-and.html
14 août 2015 at 8 h 53 min -
Intéressant. Merci Gus
10 août 2015 at 12 h 23 min -
Bonjour,
Je lis avec attention cet avis, effectivement il est étrange que l’extincteur retrouvé ait disparu de la circulation sans avoir enquêté ne serait ce que sur son numéro de série ; et cette pièce sphérique a du être particulièrement sensible aux courants…
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Par contre sur l’explication du crash, il n’y a pas un changement de cap, mais 3 ; un pilote sombrant dans l’inconscience pourra en ordonner un, mais le reste semble plus problématique.
Il semble qu’un bord d’attaque en structure d’abeille en alu a également été trouvé aux Maldive. La taille semble compatible avec un B777
11 août 2015 at 8 h 15 min -
Les fameux caps multiples résultent des trajectoires des radar militaires primaires. Je travaille sur les 585 pages du rapport d’enquête et il montre le peu de crédit qu’on peut accorder à ces « données ». Le rapport mentionne notamment qu’il n’y avait personne devant les écrans et qu’on pioche des bouts d’enregistrements dont rien ne prouve qu’il s’agisse du MH es fameux changements de cap qui font tant gloser !!
12 août 2015 at 9 h 59 min -
Merci pour cette précision importante. En effet c’est une façon de travailler assez particulière que de mettre des radars sans personne derrière pour détecter un avion inconnu, si tant est que l’interprétation a postériori est correcte puisqu’il s’agit de superposer des échos qui peuvent être décalés les uns par rapport aux autres, faute d’une calibration et d’une orientation uniforme entre des stations militaires appartenant à plusieurs pays qui n’ont pas forcément grand intérêt à coopérer… Avec de telles méthodes, se prendre 10° d’écart est un jeu d’enfant.
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Par contre en Malaisie il y a certains politique qui pourraient apprendre que le silence est d’or, surtout lorsqu’on n’a aucune idée de ce qui s’est passé.
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Pour le bord d’attaque retrouvé aux Maldives, tout comme l’extincteur, j’attends impatiemment le rapport d’enquête…
10 août 2015 at 8 h 04 min -
Le flaperon vient bien d’un B777 : entièrement d’accord.
Il a séjourné des mois dans l’eau : entièrement d’accord.
Il montre que les hypothèses alternatives sont fausses : pas du tout d’accord. D’ailleurs, la prétendue démonstration d’océanographes australiens qui auraient prédit il y a un an l’échouage à la Réunion depuis la zone de recherches « officielle » sur la base de simulations informatiques, reprise en choeur par la plupart des media, montre en réalité… que cet échouage est impossible (voir lien en fin de message) !
Parce que vous êtes un homme raisonnable et honnête, vous faites l’hypothèse implicite que nos gouvernements et media le sont. Or rien n’est plus faux : les mensonges et incohérences s’enchaînent depuis le début de cette affaire (et pas que pour cela, vous l’aurez remarqué si vous suivez l’actualité d’un oeil critique !), c’est une chose prouvée.
La « démonstration » d’Inmarsat n’en est pas une : d’autres ont montré que ces calculs, en mode « boîte noire » totalement invérifiable, pouvaient très bien servir à diriger la « vérité » dans la direction qu’on souhaitait lui donner. Trop long à expliquer ici, c’est très technique.
Les habitants de Kudahuvadhoo dans les Maldives ont bien vu un avion de ligne en tous points ressemblant passer juste au-dessus de leur île et se diriger vers Diego Garcia, à une heure correspondant à la disparition du MH370 : c’est un fait prouvé et toujours pas expliqué. Or on a tout fait pour NE PAS tenir compte de cette observation, en elle-même ahurissante (même sans la disparition du MH370). Très dérangeant.
Encore plus dérangeant : les victimes du MH17 en Ukraine (ou au moins une bonne part d’entre elles) étaient majoritairement asiatiques, mortes depuis des semaines, vidées de leur sang et sentaient le formol. Elles embarquaient également avec elles des vêtements d’hiver (en juillet…). C’est un fait PROUVE, pas une élucubration de « complotistes » délirants (voir lien plus bas). Ces corps pas frais ont même été signalés par les « grands » media juste après le drame, avant que cette info hautement subversive soit enterrée.
Bref, toute votre démonstration ignore certains faits, et considère que le flaperon du B777 n’a pu s’échouer là que de manière naturelle. C’est aller bien vite en besogne.
Plus de développements ici :
http://aitia.fr/erd/la-valise-miraculeuse-le-veto-russe-et-loccident-qui-regardait-ailleurs/
http://aitia.fr/erd/assassinat-de-nemtsov-et-si-on-reparlait-du-vol-mh17/
http://aitia.fr/erd/ciel-bleu-gilet-jaune-et-mh17/
11 août 2015 at 8 h 19 min -
Ah,la théorie du complot! Elle a visiblement encore de beaux jours et avec ses tenants, la discussion est vaine.
11 août 2015 at 9 h 04 min -
Il n’y a pas de « théorie du complot », il y a des FAITS PROUVES, et il y a ceux qui font travailler leur raison pour les comprendre, contre ceux qui persistent à se boucher les yeux et les oreilles (et si j’ose dire, les synapses) pour ne pas déranger leur confort intellectuel. Si vous voulez savoir ce que je pense de cette non-pensée, c’est ici :
http://aitia.fr/erd/les-mots-creux-du-nouveau-maccarthysme/
Avez-vous seulement visionné la vidéo dont j’ai pris le temps de traduire les sous-titres allemands ?
Si oui, avez-vous le coeur suffisamment bien accroché pour supporter sa version brute non censurée (et non sous-titrée) que vous pouvez trouver ici :
https://www.youtube.com/watch?v=RD_ObgYNIiE
En outre, j’aimerais savoir ce que pense un ancien commandant de bord de B747, supposé avoir quelques notions sur la structure d’un avion et ses limites de résistance mécanique, sur la possibilité d’autres Boeings de réaliser (un certain 11 septembre 2001) des découpes nettes jusqu’au bout de leurs ailes dans des gratte-ciel à structure acier (colonnes périphériques creuses à section carrée en tôle d’un peu plus de 2 cm d’épaisseur, une par mètre sur la largeur des façades) et de voler à environ 900 km/h quasiment au niveau de la mer en effectuant une manoeuvre d’approche des plus délicates. Sur ce dernier point, des pilotes américains ont des analyses très percutantes :
http://pilotsfor911truth.org/WTC2.html
Merci de répondre en utilisant des arguments RATIONNELS et non de botter en touche sur un plan émotionnel comme dans un magazine féminin de seconde zone. Les lois de la physique ont-elles droit à des éclipses ? Telle est la question.
11 août 2015 at 9 h 42 min -
Je me contenterai d’attendre que l’expertise de ce flaperon va donner avant d’aller plus loin dans les supputations. J’ai vu la vidéo des cadavres du MH abattu en Ukraine et je ne vois pas ce qu’elle apporte à la recherche de la vérité
9 août 2015 at 13 h 19 min -
Oui l’hypothèse d’une dépressurisation est valide Mais comment expliquer qu’après le demi tour qui est logique on trouve 10 à 15’après un virage à droite d’environ 30° puis un 150° à gauche pour partir vers l’Australie. Ces changements de cap semblent montrer une action humaine dans le cockpit sans doute 30′ après le demi tour. Je n’ai pas d’explication mais c’est cependant un constat. Merci à Christian de me donner son avis
11 août 2015 at 8 h 33 min -
Voir ma réponse à une autre commentaire sur la validité des ces enregistrements des radasr militaires
11 août 2015 at 20 h 51 min -
Salut,
Si on remet en cause les données des radars militaires .. on peut aussi (en restant fidèle a cette logique) remettre en cause les calculs de trajectoire d’Inmarsat ..
Car pourquoi les militaires (qui ont des intérêts) diraient plus la vérité qu’Inmarsat (qui a d’autres intérêts)
Ignorer ou considérer comme peu crédibles les données radars primaire favorise bien sure votre hypothèse (feu .. etc ..)
14 août 2015 at 10 h 06 min -
On peut tout élucubrer, c’est vrai. Il reste que selon le rapport d’enquête de 585 pages que je suis en train d’étudier, les trajectoires des radars militaires, sont des enregistrements, il n’y avait personne devant les scopes et ce sont des bribes ajoutées les une aux autres, avec une incertitude sur leur identification. La commission d’enquête a fait des réserves sur ces données
Quant à l’enregistrement montrant une variation d’altitude de 12 000 à 45 000 pieds, on notera que le plafond du B777 est de 41 000 pieds
8 août 2015 at 15 h 32 min -
Si les américains avaient l’intention de cacher l’hypothese » Diego Garcia » , rien n’empêche un sous marin d’en venir déposer des débris dans le courant maritime est ouest au milieu du pacifique !
11 août 2015 at 8 h 34 min -
Celle là, on ne l’avait pas encore entendue !
8 août 2015 at 14 h 06 min -
Votre hypothèse semble sérieuse, mais si l’avion est en pilotage automatique pourquoi change t il de cap ???
De plus, ce qui me trouble, c’est qu’avec tous les moyens satellitaires actuels « personne « n’a repéré cet avion ni par radars, ni par satellites, c’est bien étrange.
Alors mystère.
11 août 2015 at 8 h 21 min -
Prenez en compte qu’un satellite, c’est un zoom, qui a besoin d’être pointé sur une cible si on veut discerner quelque chose comme un avion
8 août 2015 at 13 h 33 min -
Les bouteilles d’extincteur utilisées sur B777 le sont probablement aussi sur d’autres types d’appareils, ce qui permettrait d’écarter cette piste.
Si l’hypothèse de l’explosion d’un chargement de batteries reste vraisemblable, on ne peut écarter celle d’une intrusion de pirates, avec bagarre conduisant finalement à une décompression explosive, mortelle pour tout le monde, avant le long trajet en pilote automatique au cap sud.
11 août 2015 at 8 h 22 min -
Tout à fait vraisemblable en effet
8 août 2015 at 11 h 43 min -
Bonjour Christian,
Super tes commentaires comme toujours. Cependant il y a un point que tu pourrais éclaircir STP : avec quel matériau est fabriqué l’aileron ? ne devrait-il pas couler car il doit être lourd et c’est bizarre qu’il se soit échoué au lieu de rester au fond. Et s’il était posé sur le fond il faut une grosse lame pour le ramener au bord de la plage non ? à moins que ce soit un pêcheur qui l’ait pris dans ses filets et posé sur la plage sans rien dire……
QUID , MERCI BISES
11 août 2015 at 8 h 24 min -
‘est de l’alu et s’il a flotté, c’est qu’il formait un caisson étanche. Les coquillages montrent qu’il devait être sous la surface de l’eau
Amitiés
Christian
8 août 2015 at 9 h 27 min -
Bonjour Christian
On a admis que cette pièce était insubmersible Pour quelle raison?
Je ne vois pas pourquoi ont aurait été s’ennuyer à réaliser une étancheité d’un caisson dont le seul rôle est structural. Quand on voit le temps qu’il faut passer pour réaliser cette étanchèïté au niveau des reservoirs de carburant (pulverisation de PR, interposition de joints, etc) on peut se poser la question
Ensuite, on voit nettement la découpe à l’emplacement du vérin de commande, dont le mouvement était transmis à la structure du flaperon par une ferrure de reprise sur le longeron, donc interne. Là encore, étanchéïté?
Enfin, et j’arréterais là mes élucubrations, il reste la possibilité d’un remplissage par une mousse genre « klegecel » qui aurait pu fournir une certaine « flottabilité » mais quid au bout de plusieurs mois?
11 août 2015 at 8 h 25 min -
Je pense que l’expertise en cours répondra aux questions pertinentes que tu pose. Moi, je n’ai pas les éléments
12 août 2015 at 10 h 20 min -
Bonjour,
Sans attendre les conclusions de l’enquête, il n’est nul besoin d’imaginer que la pièce soit étanche, ni qu’elle ait flotté.
Sans parler d’étanchéité, pour minimiser la trainée il faut avoir une aile aussi lisse que possible, éviter les trous et les déformations, surtout pour une pièce qui a un rôle important dans la portance de l’avion L’aile est une pièce spectaculairement légère et solide par rapport à sa taille, et chaque fois que le flux d’air est déformé il génère une surconsommation. C’est probablement la partie de l’avion qui concentre le plus l’attention et l’énergie des ingénieurs aéronautiques.
.
A ce compte là, qu’un structure de 2 mètres, légère, qui a pu garder de l’air emprisonné ait été ballotée par les courants n’est pas du tout étonnant.
8 août 2015 at 5 h 44 min -
3 problemes si on suit cette hypothese:
_Effectivement pourquoi l’extincteur se retrouve-t-il aux Maldives?
_Pourquoi un trajet de l’avion si tortueux revelant une volonte manifeste de voler discretement hors eaux territoriales?
_Comme par hasard meme pas 5 minutes apres les dernieres conversations avec le control de KL, coupure du radar et des ACARS?
Ce dernier point sera la cle de l’enigme, il est peu probable qu’une explosion ait pu endommager ces seuls 2 equipements comme par hasard juste apres les dernieres communications. Il n’y a pas de hasard. Le moment etait choisi.
11 août 2015 at 8 h 31 min -
Sur cet extincteur, ce n’est probablement pas une pièce du MH 370, mais ce qui est choquant, c’est qu’on en ai jamais entendu de conclusions d’analyse
7 août 2015 at 18 h 15 min -
Bonjour Monsieur,
Je souhaite tout simplement vous dire que j’apprécie vraiment vos riches commentaires. Vous avez des connaissances et des analyses très précieuses. Je vous remercie pour tout ce que vous faites et je vous admire. J’aimerais tellement que des HOMMES de votre trempe nous gouverne pour tenter de sauver la France engluée dans la médiocrité. 2017 n’est pas loin, SVP, présentez vous.
Respectueusement,
Raymond Charra
11 août 2015 at 8 h 39 min -
Vous êtes bien gentil avec moi et je vous en remercie. Le Général de Gaulle avait dit : « Ce n’est pas à 67 ans qu’on commence une carrière de Dictateur ». Alors imaginez ce qu’elle pourrait être à bientôt 81 ans, même si je pense qu’il serait facile de faire mieux que l’olibrius qui nous gouverne
7 août 2015 at 16 h 24 min -
Je suis assez d’accord sur votre analyse et en particulier, l’attitude des pilotes qui déconnectent la PA et programme en urgence un retour à l’aéroport de décollage, mais pour quelles raisons? Il s’est passé quelque chose de grave à bord de cet avion!
Je voudrais apporter une petite précision concernant le transport de piles et Batteries Lithium et lithium-ion.
J’ai durant ma carrière professionnelle fait voyager beaucoup de piles lithium et batteries lithium-ion à travers le monde. Il faut savoir que ces transports sont référencés « spéciaux » et sont soumis à des règles de sécurité internationales sévères au niveau des emballages et des quantités transportées. Les emballages doivent êtres capables contenir une explosion et les vapeurs nocives qui se dégagent de celle-ci. Ils doivent aussi préserver les batteries de toute atteinte Electro-Magnétique qui pourrait être générée par des équipements radio de bord ou autres équipements électroniques de puissance…
Les questions suivantes se posent:
– Les Malaisiens ont-ils respecté ces consignes dans leur intégralité?
– Le poids des batterie Li-ion était-il trop important sur ce vol?
– l’espace de stockage à bord de l’avion était-il adapté pour recevoir une telle quantité?
– les batteries étaient-elles bien stockées dans cet espace dédié dans l’avion?
– Les malaisiens vont-ils remettre aux enquêteurs le plan de chargement de l’avion?
Votre analyse est coherente, mais comme vous l’écrivez, il faudra retrouver l’épave pour en savoir plus…et sur ce point ce n’est pas gagné!
J’avais aussi lu quelque part que le transpondeur de l’avion avait été déconnecté environ une heure après la prise du nouveau cap? Savez-vous quelque chose sur ce sujet car si c’est le cas cette action est incohérente avec un retour en urgence vers l’aéroport de départ…
Merci pour vos pertinentes analyses que je lis toujours avec beaucoup d’attention.
Robert
11 août 2015 at 8 h 54 min -
Je travaille sur les 585 pages du rapport d’enquête, qui montre notamment que les règles de sécurité n’ont pas été respectées pour le transport de 221 kg de batteries au lithium ion
C’est un gros boulot que je sortirai en automne. pour l’instant, il fait un peu trop chaud et je préfère la piscine !
7 août 2015 at 14 h 53 min -
Merci pour ces informations, il reste aussi à comprendre pourquoi ce flaperon a put flotter même entre deux eaux, ce genre de structure n’est pas étanche, y a t’il de la mousse injectée ?
11 août 2015 at 8 h 55 min -
Attendons les résultats complets de l’expertise en cours
7 août 2015 at 14 h 38 min -
Merci pour toutes ces explications.
Je ne crois pas que la vérité sur ce vol sera un jour dévoilé !
Comment peut-on expliquer une explosion des batteries aux lithium qui serait d’après vous la cause de ce crash ? Comment ne pas contrôler les avions avant leur envol ?
L’avion est certes le moyen le plus sûr mais je crois que la révision des avions actuellement est mal contrôlée !! CORDIALEMENT
11 août 2015 at 9 h 00 min -
Ces fameuses batteries sont très instables et les cas d’explosion sont nombreux. Les USA ont interdit à tout avion survolant les USA de transporter ce type de batteries et quelques compagnies aériennes ont aussi interdit ce fret. La législation internationale est stupide, car elle limite les colis à 5 kg, mais sans fixer un nombre de colis maxi transportable.
7 août 2015 at 14 h 14 min -
Dans votre scenario, les pilotes meurent instantanément, mais les passagers ont encore 15 mns d’oxygène ?
Les pilotes auraient ils pu survivre s’ils étaient revenus vers les passagers ?
11 août 2015 at 9 h 05 min -
Absolument pas. La seule chose qu’ils auraient pu faire théoriquement est de s’équiper d’une des bouteilles portatives d’oxygène qui sont dans l’avion, et de faire une descente de secours. Mais il fallait quitter les sièges pilotes et avec le choc du froid (80° de différence) et l’anoxémie, cela leur était impossible.
7 août 2015 at 13 h 34 min -
L’explosion des batteries aurait pu expulser de l’appareil des bagages ou des morceaux de l’appareil, ce qui pourrait expliquer la présence de débris (extincteurs) très loin du point d’impact, en fait dés que cette explosion se produit, voire semer quelques débris plus loin à un endroit où les courants reviennent vers l’ouest.
11 août 2015 at 9 h 22 min -
C’est tout à fait possible en effet
7 août 2015 at 10 h 56 min -
Bonjour et merci pour cette mise au point.
Mon ignorance me fait poser la question suivante : comment se fait-il qu’un extincteur ait pu dériver au lieu de couler ?
Cordialement.
P.C.
11 août 2015 at 9 h 10 min -
Il était très probablement vide.
7 août 2015 at 10 h 40 min -
Bonjour,
comment expliquez vous la disparition soudaine des communications automatiques? Si la thèse des batteries est vraie, pourquoi aurait-il pris ce cap à l’ouest sans communiquer, pour ensuite partir plein sud?
Et si l’extincteur vient bien du MH370, pensez vous qu’il puisse être tombé dans les eaux de l’hémisphère nord d’un avion éventré circulant de manière erratique? Est-ce seulement envisageable?
11 août 2015 at 9 h 35 min -
Dans mes articles précédents sur ce sujet, je pense avoir donné les explications nécessaires. L’explosion supposée des batteries a pu détruire une partie des racks de la soute électronique. Quant à cet extincteur, ce qui me choque c’est qu’il n’y ai eu aucune analyse par Boeing
7 août 2015 at 9 h 15 min -
L’explosion en soute des batteries a peut être provoqué une déchirure dans le fuselage par laquelle a pu s’échapper, au cours du vol vers le sud de l’océan indien, des débris (tels la bouteille d »extincteur),à la latitude de l’archipel des Chagos, et que les courants auraient emportés aux Maldives.
amicalement
11 août 2015 at 9 h 11 min -
C’est effectivement une possibilité à laquelle je n’avais pas pensé
7 août 2015 at 8 h 32 min -
Salut Christian,
Merci pour ton travail qui change des élucubrations habituelles des médias.
A ce point, seul le plus grand des hasards pourrait permettre de savoir ce qui est arrivé à cet avion.
On peut toujours espérer mais la mer est grande et profonde.
11 août 2015 at 9 h 13 min -
Bonjour Claude
Comme toi,je ne pense pas non plus qu’on retrouvera l’épave dans cette immensité si profonde
7 août 2015 at 7 h 56 min -
Bonjour christian,
Tu as sans doute regardé France 5 hier après-midi. Sinon regarde la avec « plus » et dis nous quelles sont tes commentaires et réactions.
Amitiés
Louis
11 août 2015 at 10 h 19 min -
J’ai vu l’émission et je ne partage pas l’hypothèse de Polacco sur un détournement, qui repose uniquement sur des enregistrements radars non identifiés de façon certaine. Je publierai sur ce sujet mes réflexions sur les 585 pages du rapport d’enquête. Mais donnes moi du temps. C’est plutôt indigeste !
7 août 2015 at 1 h 48 min -
j’ai regardé l’émission C dans l AIR du 6 aout 2015.
les intervenants m’on paru assez crédibles.
Toutefois je pense comme Christian, que l on n’ a peu de chance de retrouver l ‘épave de l’avion
en attendant Merci a Christian pour l’analyse pertinente de ses propos.
7 août 2015 at 0 h 17 min -
Ton commentaire prudent et circonstancié me convient et, en particulier, la survenance d’une décompression explosive, facile comme je l’ai connue avec un masque sur le museau et un bon blouson en cuir, mais combien plus dramatique, sans masque alimenté et en chemisette ! Il y a déjà eu un exemple au voisinage de la Grèce ! Tous au tapis sans secours possible !
6 août 2015 at 22 h 07 min -
Totalement novice en la matière et allergique aux complots protéiformes et théories fumeuses, je trouve votre blog très intéressant et accessible. Voici mes questions.
Ce flaperon aurait-il pu être ramené en surface par un chalut ou déplacé par des filets dérivants perdus ou abandonnés (qui, logiquement, suivent les courants, une fois livrés à eux-mêmes) ?
Au vu de la carte, on pourrait aussi trouver des épaves sur la côte SE de l’Afrique du Sud.
Dans l’hypothétique théorie Diego Garcia (entre autres), une tempête tropicale aurait-elle pu contrarier la circulation « naturelle » des débris ?
Les balanes et anatifes « poussent » vite et les résultats de leur analyse seront peut-être déterminants.
Anecdote: trouvé il y a qques années à Soustons – plage (40) un appareil électronique (HS) de mesures (température etc…) provenant d’une ferme aquacole de Key West.
11 août 2015 at 9 h 45 min -
Effectivement, la carte des courants montre qu’on pourrait retrouver des morceaux sur la cote SE de l’Afrique du Sud
Pour l’hypothèse « Diego Garcia », cette carte des courants est bien gênante pour les fervents de ce schéma, mais je m’y tiens
12 août 2015 at 18 h 37 min -
bonjour
Si l’avion est passé au-dessus au-dessus de Kudahuvadhoo en direction du sud/sud-est il a pu franchir très facilement l’équateur qui est proche avant de se crasher .
Et là les courants sont différents .
D’ailleurs quels sont les courants marins aux Maldives ?
Il est difficile de donner une description générale des courants qui sillonnent les chenaux innombrables des archipels des Maldives et des Laquedives. Pourtant, on peut dire qu’ils portent à l’Est pendant la mousson de Sud-Ouest, à l’Ouest quand souffle la mousson de Nord-Est
et à l’Equateur ?
Si l’on excepte la composante du contre-courant Equatorial, le courant équatorial de l’Océan Indien coule de l’Est à l’Ouest, entre les parallèles de 10° et 20° de latitude Sud.
Donc beaucoup de possibilités
14 août 2015 at 8 h 47 min -
Je m’en tiens à cette carte des courants et je répète qu’il n’est pas possible d’un passage à faible altitude aux Maldives et d’un crash 6 heures plus tard au sud de l’Océan Indien
14 août 2015 at 10 h 16 min -
La carte des courants montre qu’un débris des Maldives ne peut arriver à la Réunion.
14 août 2015 at 10 h 17 min -
La carte des courants montre qu’un débris des Maldives ne peut arriver à la Réunion.
6 août 2015 at 14 h 17 min -
Analyse très pertinente mais j’ai une question à propos de la bouteille d’oxygène retrouvée aux Maldives : comment expliquer qu’elle soit arrivée jusque la-bas au vu de la carte des courants marins ?
6 août 2015 at 21 h 49 min -
Salut,
Pour la fameuse « boule » (ou mine – bouteille d’oxygène .. etc ..) des Maldives
« According to local experts working for him, none of the serial numbers on the extinguisher match parts used by Boeing. »
http://www.freemalaysiatoday.com/category/nation/2015/07/07/missing-flight-mh370-over-maldives-theory-ruled-out
J’espère que cela permettra de définitivement l’oublier 🙂
11 août 2015 at 9 h 38 min -
On attend toujours le verdict des seuls habilités à dire s’il s’agissait d’une pièce d’avion. Je parle de Boeing, qui n’a publié aucune information à ce sujet, alors que les autorités malaisiennes avaient dit qu’elles leur enverrait cette pièce. Mais l’ont-ils fait?
5 août 2015 at 20 h 24 min -
Je ne crois pas que la vérité éclatera un jour, trop de flou, ce n’est pas une pièce qui changera ce que personne ne veut dire hélas
5 août 2015 at 19 h 47 min -
D’abord merci pour votre site et maintenant (dsl avec un clavier très peu français) ce qui m’interroge dans votre dernier article.
Même en mixant avec le temps et mes souvenirs et sans avoir relu ni le site ni bien sûr l’énorme quantités d’inos validées – ou non – parues , et en plus n’étant pas professionnel du tout,
– 221kg de batteries: j’en suis au fait qu’elles n’étaient pas regroupées, càd insérées dans chaque ordi ou autre. Cela aurait-il suffi? Evidemment tout change si les « mangoustans » s’avèraient des batteries regroupées.
-en ce qui concerne les courants marins: comment un débris type sphére inox HP aurait pu finir aux Maldives 3300km NNEm environ de La Réunion et si Diego Garcia semble inatteignable par des débris. Une expertise de cette sphère manque.
– la reconstitution trajectoire « radar* officieuse avec demi-tour et divers changements de trajectoire voire d’altitude sur une période assez longue me parait ne pas coller avec un seul incident catastrophique.
– ? ne pourrait-îl y avoir d’autres scenari aboutissant à l’êxplosion de la bouteille O2 qu’on pourrait elle admettre sur le dernier vecteur plein sud ?
France Info rapporte à l’instant ce que tout le monde sait déjà sur le débris récupéré. Intéressant ensuite de déterminer sa position ou la vitesse de l’avion au moment ou il s’est retrouvé détaché.
Bien cordialement à vous en insistant sur le fait que je pense que mon post n’a aucun intérêt à être publié.